Image de soi : c’est l’idée que chacun de nous a de sa propre apparence et de sa propre identité psychologique. La façon dont nous nous regardons nous-mêmes.
« Je suis jeune, je suis gros, je suis un combattant, je suis un perdant … »
Très souvent, cela ne correspond pas à l’image que les autres ont de nous, parce que nous sommes durs avec nous-mêmes. Nous savons être nos pires bourreaux.
L’amour de soi : c’est le fait d’accepter et d’aimer la personne que nous sommes. Nous nous aimons malgré nos défauts, nos limites, nos échecs, parce qu’une « petite voix à l’intérieur » nous dit que nous méritons l’amour et le respect des autres, et surtout de nous-mêmes.
L’amour de soi est donné d’abord par ceux qui nous entourent : notre famille, nos proches, nos professeurs d’école. Et l’amour des autres, depuis l’enfance, nous influence.
Si un père dit régulièrement à son fils « tu es un bon à rien », l’enfant le croira et ne s’aimera pas lui-même. S’il lui dit « Je t’aime, tu es mon soleil et tu devrais être fier de toi », l’enfant s’aimera lui-même.
S’aimer soi-même, c’est pouvoir dire : « J’ai de tels défauts et de telles qualités, mais je m’aime exactement comme je suis ! »
La confiance en soi : c’est croire en ses capacités, connaître ses forces, avoir foi en soi et savoir que l’on a des possibilités. « Je suis capable de le faire, j’ai des ressources en moi, j’ai de l’expérience, je suis intelligent et motivé ! »
Souvent, si vous avez une bonne image de vous-même et de l’amour pour vous-même, la confiance vient d’elle-même.
Même lorsque vous échouez, vous le mettez en perspective et recommencez. « Je ferai mieux la prochaine fois. J’ai appris quelque chose, c’est l’essentiel ! »
En bref, l’estime de soi repose sur les trois piliers que nous venons de voir.
L’estime de soi est une attitude intérieure qui consiste à se dire que l’on est précieux, unique et important. C’est le jugement que nous avons de nous-mêmes et que nous portons sur nous-mêmes.
Attention, car si l’un des piliers s’affaiblit, les autres s’affaibliront automatiquement. Il est donc essentiel de travailler constamment sur soi-même afin de maintenir une forte estime de soi, ce qui nous donnera toutes les ressources pour affronter la vie et en sortir plus forts !
L’estime de soi se développe par le contact avec les autres, parce que nous sommes des êtres sociaux.
Elle se forge dès les premières années de notre vie, avec ceux qui nous entourent. De l’enfance à l’adolescence puis à l’âge adulte, notre estime de soi est basée sur nos contacts et nos expériences. C’est ce qui déterminera, à nos yeux, si nous avons de la valeur ou non.
Lorsque vous êtes au chômage, votre estime de soi peut être affectée parce que la société vous amène à croire qu’avoir un emploi et de l’argent est ce qui vous rend précieux. Mais notre vraie valeur est déterminée par nous-mêmes. Il ne peut pas être basé sur un emploi ou de l’argent, sachant que tout le monde traversera une période de chômage ou de difficultés financières dans sa vie. Si nous devions attendre que tout soit parfait avant de nous aimer et de nous respecter, nous risquerions tous de passer à côté de la vie et de ses joies.
Soyez conscient de ce que vous pouvez faire et connaissez vos forces et vos limites. C’est tout ce dont vous avez besoin pour maintenir votre estime de soi. Vous êtes important et unique.
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Très souvent, la réponse sort des sentiers battus…
Les anglophones ont cette expression :
« Il faut sortir des sentiers battus! »
Voici un très bon exemple : Découvrons le témoignage d’un homme qui ne voulait pas se définir par un travail, ni par ses biens matériels. Sa richesse était sa vie bien remplie !
« J’ai pris une vie sabbatique »
Nous avons travaillé sur nos croyances limitantes et nous nous sommes rendu compte qu’elles nous retenaient…
C’est comme ramer hors du port sans délier le bateau. Quelle énergie gaspillée ! Abandonnons les croyances qui nous retiennent captifs et mettons enfin les voiles comme NOUS le voulons. Certaines de nos croyances sont une véritable prison. Il s’agit de les enlever un par un comme scier à travers des barres.
Tout cela se passe dans nos têtes. Nous avons fait les nôtres, des croyances qui nous ont été transmises et qui nous limitent encore aujourd’hui, alors que les opportunités dans la vie sont infiniment plus denses que ce que l’on nous a fait croire !
André Brugiroux s’est-il laissé influencer par le « ils disent », les croyances et les peurs des autres ? Nous venons de passer une matinée entière à concentrer notre attention et notre énergie sur le soi-disant échec du « chômage ». La société voudrait que nous le pensions, mais cet après-midi, nous allons changer les étiquettes. Vous vous définirez différemment, selon vos propres codes !